Friday, June 09, 2006

Démarrage

La pompe de brassage est placée de manière à agiter la surface de l'eau tout en limitant au maximum le courant au niveau de la couche de sable. Il est important de ne pas forcer le passage de l'eau dans le sable. L'ensemble est mis en place et mis sous tension. On note un éblouissement dû à la fuite de lumière par le verre entre le couvercle et la surface de l'eau. Il faudra prévoir d'opacifier le haut du bac sur environ 5cm. L'éclairage LED bleu est puissant et localisé. Il est peu visible sous l'éclairage FLUO Compact. En mode nocturne, l'aquarium est baignée dans une ambiance bleutée très réussie.

Un problème important survient. La lampe fluocompact chauffe beaucoup et la température de l'eau monte en 2 heures à 28°C. Il se produit aussi énormément de condensation sur les parois métalliques du couvercle inox. A proximité du cablage éléctrique, c'est problématique. Il va falloir revoir entièrement la conception de la gallerie.
Il va falloir installer une cloison étanche pour isoler l'eau de la partie electrique. La solution d'un disque de contre-plaqué percé de hublots vitrés pour l'éclairage est prévu à court terme.

Construction VI

Cablage éléctrique.
La boite de dérivation contient le programateur journalier mécanique ainsi que le bornier principal de connexion. L'arrivée secteur 220V est séparée en quatres paires de fils. Une paire pour la pompe, une paire pour le chauffage, une paire pour l'éclairage LED. La quatrième paire est pilotée par la programateur et concerne l'éclairage fluocompact.

Le support à douille de la fluocompacte est vissé directement sur le couvercle de la boite de dérivation. La douille support du spot LED bleu est laissée pendante au bout de son câble, temporairement.

Monday, June 05, 2006

Construction V

Introduction des pierres vivantes.


L'ensemble du bac est laissé en fonctionnement à vide pendant plusieurs semaines. Le brassage important de surface cumulé avec le perlon qui dépasse de la surface a joué le rôle de mini écumeur. Une petite quantité d'écume grisâtre s'accumule sur le perlon. Il y en a peu car il n'y a pas grand chose à écumer dans un bac qui ne contient que du sable. L'eau est limpide et l'odeur est agréable.

Vient le moment d'ajouter les pierres vivantes.
Je déniche une unique pierre de 2kg de belle qualité, bien poreuse, pleine de galeries et couverte de corallines rouge. Un changement d'eau de 50% est éffectué et la pierre est immergée accompagnée du thermoplongeur de 25W.
La température est stabilisée à 25°C. Quelques secondes après l'immersion, un invertébré inconnu ressemblant à une sangsue de 4 cm, s'extirpe de la pierre et ondule déja dans le bac.

La pierre est placée de manière à présenter son orientation naturelle vers la lumière. Le premier problème qui se pose est qu'elle est un peu grosse et recouvre environ 50% de la surface du sable. En théorie, 75% du sable devrait être éclairé pour un bon fonctionnement de la méthode Jaubert. Je décide de passer outre.

Pierre vivante 2kg : 30 euros